Collège Andre Tiraqueau

Collège – Fontenay Le Comte

Vendée
Sélectionnez une page

– Article publié le 15/02/2024 –

Quand les élèves s’essaient à l’écriture : Nouvelle proposée par Sohan.

PLUS QU’UN

J’escaladais des monts depuis dix ans maintenant. Dans quatre jours commencerait mon ascension de l’Everest. Des paysages enneigés à perte de vue dans ces montagnes touchaient les cieux, reliant ciel et terre. Nous étions trois à rêver d’aventures dans ces lieux reculés de la société rigide de notre monde contemporain.

Nous avions marché trois heures pour arriver à l’auberge où nous allions procéder aux derniers préparatifs de notre escalade. Nous fûmes chaleureusement accueillis et invités à nous reposer. J’acceptai immédiatement après cette longue marche. La journée sembla passer trop vite dans nos discussions animées avec l’aubergiste portant sur ce monde blanc des montagnes.

Le matin, après une bonne nuit d’un sommeil lourd, nous primes notre déjeuner à deux car, notre ami n’étant pas encore debout, nous décidâmes de déjeuner sans lui. Quelques parties de cartes plus tard, notre aimable hôte nous annonça qu’il avait parlé à notre compagnon de route et que celui-ci était malade. Il dormirait encore quelques instants afin de pouvoir chasser son mal de ventre.

Nous lui demandâmes des itinéraires de randonnée afin de pouvoir profiter de ce lieu. Notre balade se déroulait sans encombre jusqu’à ce que l’on entendit un animal, sans doute, derrière un amas de pierres. Mon ami partit regarder quel genre de bête avait pu produire un tel son. Soudainement, il se mit à hurler de stupeur, et, chuta dans un trou béant qui s’était ouvert sous son poids. Je le vis dégringoler dans un éboulis de neige. Ce qui figea le sang dans mes veines n’était pas sa chute bien qu’impressionnante, mais le corps de notre soi-disant malade qui tombait avec lui dans le vide.

Je l’appelai, sans réponse. Ce fut avec stupeur que je vis la neige le recouvrant se tinter de rouge. Je restais là, ne sachant que faire, paralysé par la peur me nouant les entrailles. Ce double meurtre, je devais me l’avouer, avait sans aucun doute été commis par notre hôte qui avait prétendu malade l’homme que j’avais vu mort à l’instant. Après avoir repris mes esprits, je me mis à courir pour ne pas avoir à tomber dans ce piège machiavélique moi aussi. C’est après quatre heures à courir que je retrouvai le village d’où nous étions partis. J’étais seul, noyé dans le remord d’avoir entraîné mes amis dans cette expédition.

Proust Sohan, Atelier journalisme.

– Article publié le 13/02/2024 –

Retour sur les portes ouvertes du vendredi 12 janvier. Micro-trottoir réalisé par l’atelier journalisme.

 

– Article publié le 13/02/2024 –

Présentation d’Anne Frank

Anne Frank est née le 12 juin 1929 à Francfort-sur-le-Main. C’était une petite fille juive pendant la seconde guerre mondiale. Elle écrivait ses pensées quotidiennement dans un journal à carreaux qu’elle avait reçu pour son anniversaire. Elle a écrit du 12 juin 1942 jusqu’au 1er août 1944. Ses parents étaient Otto Frank et Edith Holländeur qui avaient déjà eu une fille : Margot Frank. Quand la guerre fut déclarée, des mesures anti-juives furent mises en place. Anne n’avait pas le choix, avec sa famille, de partir. Ils se sont cachés dans l’annexe, c’est comme ça qu’Anne appelait cet endroit. L’annexe était un appartement au-dessus d’une usine où travaillait autrefois le père d’Anne, donc il fallait ne pas faire de bruit. Ils partageaient l’annexe avec la famille Van Daan qui se cachait elle aussi des Allemands. Quand la guerre commença, Anne écrivit : « Les Juifs doivent porter l’étoile jaune. Les Juifs doivent rendre leurs vélos. Les Juifs n’ont pas le droit de prendre le tram. Les Juifs n’ont pas le droit de circuler […] dans une voiture particulière. Les Juifs ne peuvent faire leurs courses que de trois heures à cinq heures. Les Juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif … ».

Le journal d’Anne Frank reste et restera un témoignage important de ce que vécurent certains enfants pendant la guerre.

Ilona, Atelier journalisme.

– Article publié le 06/02/2024 –

Lundi 15 janvier, les élèves de 4B dans la cadre du projet « Jeunes en librairie » et des élèves de l’atelier journalisme ont accueilli l’autrice Tania de Montaigne au CDI durant deux heures.  Elle a présenté son livre « Noire, la vie méconnue de Claudette Colvin« . Nathaël et Chloé l’ont interviewée à cette occasion.

Nathaël et Chloé, Atelier journalisme.

– Article publié le 10/01/2024 –

Retour sur les fêtes de Noël.

Amaury, Isilda et Colin, Atelier journalisme.

– Article publié le 10/01/2024 –

Evènement au CDI : Choco-Noël

Le Choco-Noël est un événement du club lecture. Il a eu lieu le vendredi 22 décembre 2023 de 13h à 13h50.  Avant chaque vendredi de vacances, un choco-lecture est organisé où on mélange le plaisir d’écouter des histoires mises en scène tout en dégustant des chocolats. Tous les élèves jouent le jeu en emmenant des doudous, des chocolats, des biscuits.

Mélina, Atelier journalisme.

 

– Article publié le 29/01/2024 –

Trois élèves de l’atelier journalisme proposent une série de vidéos pour expliquer leur programme de science : « Les fondamenscience ».

Ici, une première vidéo à découvrir sur le thème de l’électricité.

Axel, Alban et Nathaël, Atelier journalisme.

– Article publié le 18/01/2024 –

Version podcast sur la Lutte contre le Harcèlement.

Lutte contre le harcèlement :

En novembre, au collège, beaucoup de choses se sont passées autour de la lutte contre le harcèlement. Durant trois semaines en novembre (du 9 au 30 novembre), de nombreuses actions ont été proposées : mur d’expression inauguré avec la musique du « DJ Eliott », affiches, des vidéos de sensibilisation, une boîte de témoignages… Des lectures, un choco-philo au CDI et l’intervention des ambassadeurs ont complété toutes ces actions. Enfin, un article de l’atelier journalisme expliquant ce qu’est le harcèlement sera distribué courant janvier.

Malheureusement, le harcèlement continue toujours dans les établissements scolaires mais heureusement les chiffres baissent grâce au programme PHARE et la vigilance de chacun.

Atelier journalisme, Amaury.

Le harcèlement, si on en parlait ?

Version podcast de l’article : Le harcèlement, si on en parlait ?

 

Le harcèlement, finalement, qu’est-ce que c’est ?

Avant tout, mettons-nous d’accord sur ce mot. Le harcèlement commence quand les insultes, la violence, les moqueries sont répétitives.

Les harceleurs et les harcelés n’ont pas toujours le même point de vue sur ces actes.

Les harceleurs auront tendance à trouver ça drôle et pensent que plus tard, on ne se souviendra plus d‘eux. Alors que la personne harcelée peut être triste, mal dans sa peau . Les conséquences peuvent être très graves : peur de venir au collège, échec scolaire et parfois la personne peut aller jusqu’au suicide.

Cela touche-t-il beaucoup d’élèves ?

Le harcèlement toucherait 6 à 10 % des élèves. Dans les établissements scolaires, les principaux, les professeurs, les CPE et la vie scolaire sont très vigilant sur ce problème et ils font de leur mieux pour que les victimes de harcèlement soient reconnues et aidées.

Et au collège, que fait-on ?

Au collège Tiraqueau, de nombreuses actions sont mises en place toute l’année. De plus, durant trois semaines, il va y avoir une exposition, des temps de paroles, l’ intervention des ambassadeurs, une boîte pour témoigner ou apporter son soutien, des lectures en lien avec le harcèlement …

Ce sujet nous intéresse et c’est pour ça que nous avons décidé de faire cet article. Les harcelés ne sont pas seuls. Il faut en parler à un adulte, à ses parents, ses copains. Il ne faut pas avoir honte ou avoir peur d’en parler car si on n’en parle pas ça ne se réglera pas !

Interviews de Mathieu et de Sullivan, assistants d’éducation :

Mathieu

« C’est parfois dur d’identifier le harcèlement. Il faut voir si c’est juste pour rire ou pas.

Il faut en parler et se serrer les coudes. Pour le contrer, il faut s’aider. » 

Sullivan

« C’est lâche de s’en prendre à quelqu’un de plus faible ou considéré différent.

Il ne faut pas hésiter à venir voir les adultes pour en parler, pour dire ce que l’on a vu, même si on n’est que témoin.

Un numéro pour en parler  : 3018

Atelier journalisme, Isilda et Amaury.

– Article publié le 17/01/2024 –

L’effet théâtre

Le 7 novembre 2023 a eu lieu une représentation théâtrale de la compagnie « L’Effet théâtre » au collège André Tiraqueau.

Rémy et Anne-Sophie sont des comédiens. Ils sont venus au collège pour nous jouer une pièce de théâtre de leur création, qui traitait du harcèlement et cyber-harcèlement. Leur représentation était découpée en deux actes et  nécessitait une grande attention de la part des spectateurs :

1ère Partie : Les acteurs jouaient différentes saynètes mettant en scène des situations communes de harcèlement et nous incluaient dans de petits débats tels que « Et pour vous, c’est quoi le harcèlement ? »  ou alors « Comment fonctionnent les réseaux sociaux ? ».

2nde Partie : Un grand débat sur le harcèlement, à propos des situations que nous avions vécues, des anecdotes, des faits divers, des interrogations, des questions et des remarques.

Cette pièce de théâtre était à destination de tous les élèves de cinquième. Elle avait pour but de sensibiliser les collégiens aux risques qu’entraînent les réseaux sociaux et leur mauvais usage.

Atelier journalisme, Joseph.

– Article publié le 08/11/2023 –

L’atelier journalisme : c’est quoi ?

Nous sommes 15 élèves, de la 6è à la 3è,  à faire partie de l’atelier journalisme. C’est un atelier dans lequel on réfléchit, on rédige des articles ou on crée des podcasts sur des sujets qui nous intéressent sur ce que l’on vit au collège mais aussi à l’extérieur du collège. On se réunit tous les mardis au CDI avec Mmes Barré et Tanguy.

Pour nous lire et nous écouter, nous vous donnons rendez-vous sur le Titi.

Le Titi ? C’est le journal Internet du collège. Allez sur Elyco (pas besoin de se connecter) et cliquez sur TITI.

                                                                                              Atelier journalisme, Ilona et Timours.