Merci aux élèves de 3e volontaires (Lucie, Larissa et Estéban) d’avoir accepté de lire la lettre d’Élise Bidet, lors de la commémoration de l’armistice de la Première Guerre mondiale.
« Enfin c’est fini. On ne se bat plus ! On ne peut pas le croire, et pourtant c’est vrai. » (Élise Bidet)
Elise Bidet avait pris l’habitude d’écrire à son frère, Edmond Massé, tout au long du conflit. Présente dans les rues de la capitale le 11 novembre 1918, elle décrit un Paris en fête dans une lettre qu’elle lui adresse le 13 novembre, alors que ce dernier est toujours mobilisé. Elle y raconte la liesse des habitants qui retrouvent leur liberté, la joie partagée des poilus en permission et des soldats américains de passage.
M. Cario, Mme Gaudin et Mme Terroire